Si ce n’est pas encore fait, il est indispensable d’arrêter tout 14 minutes et 9 secondes.
C’est fait ?
Alors pourquoi : pour découvrir Juja Lula et surtout les incroyables nouvelles chansons qu’elles mijotent. Pour les connaître un peu mieux aussi. De quoi trépigner en attendant leur nouvel album, et si on ne peut attendre, se décider à sortir les entendre entières sur scène (Dates ici ou là).

En hiddenbonus dans le tiroir, je me suis aussi essayé au difficile exercice du bref texte de présentation. Je le cache ici pour mémoire.

<b>Juja Lula en deux mots.</b>

Il y en a qui cherchent des étoiles en boîte,
et Elles qui sourient direct sous la voûte ;
Il y en a qui racom'ptent mal leurs biens,
et Elles qui lèvent si bien leur malles ;
Il y en a qui juste : « y a plus rien à faire »,
et Elles qui font juste qu'il y aura tout à dire…

Juja lula, deux mélodies sœurs,
et même enfants de leurs paroles.
Tromperettes qui emportent bien,
voire balaient tout, piano,
en accordéon genre fifty graves - fifty gaies.

Soit terriblement attendues,
tombe-à-piquement parlant.